Alors qu’aujourd’hui je fais des kilomètres pour en voir en bijou ou objet en relation avec les crânes et je vous parle même pas des bijoux « Memento Mori ».
Aussi je suis comme vous ; je comprends pas ce revirement.
J’ai quelques pistes dont je peux vous parler :
- Sortir d’une vie assez télèguidée et automatique.
- S’embourber dans la vie de tous les jours.
- Etre choquée par la mort de quelques amies.
- Avoir eu 45 ans et avoir étè traitée de seniors par une gamine de 20 ans appartenant à la DRH.
- Faire en quelque mois des courses à pied de 5 km, 10 km, et semi-marathon.
- Avoir des amies « fondues grave » de cranes et qui ont su me parler de la face éclairée de ces objets.
- Plonger en soi et dans sa peur.
- Rencontrer des pièces d’exceptions avec des cranes en gemmes et/ou en metal.
- Pister les bijoux » Codagnoto » . Aller à Venise et être déçue par cette boutique qui est plus prés des boutiques de guignols en crâne que d’autres choses. Le temps est passé où le génie régnait.
- Rencontrer des jeune design, et stylistes qui font des merveilles et qui revisitent la notion.
Voilà c’est ça le « Memento Mori », se souvenir que nous sommes mortels et que nous sommes un jour en bas et un jour en haut. Un jour flamboyante, un jour plus ternes sans en pâtir plus. Le soleil n’éclaire pas tout le temps et la lune éclaire aussi de son côté des nuits presque allumées.
Se souvenir mais surtout aimer les collectionner . Du plus petit au plus grand.
Rêver de trouver le designeur pour trouver cette bague parfaite.